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Psychotropes, l'enquête - La face cachée des antidépresseurs, tranquillisants, somnifères - Guy Hugnet

Par Neptune 

le 02/02/2016 

0 lectures


Ne lisez pas ce livre si...


Vous avez déjà murement réfléchi, pris votre décision d'arrêter les benzodiazépines. Vous connaissez les difficultés du sevrage et la méthode qu'il faut employer. Mais vous restez hypersensible et anxieux(se), en particulier de ne pas effectuer ce sevrage assez vite.

Ce livre risque de vous mettre une pression supplémentaire et néfaste à votre sevrage serein, et risque de créer quelques nouveaux motifs d'inquiétude pas forcément compatibles avec votre effort. Cet effort aboutira, soyez en sûr(e), et vous pourrez alors lire ce livre et vous féliciter encore d'avoir pris la bonne décision.

Lisez absolument ce livre si...


  • Vous hésitez à arrêter les benzodiazépines parce que vous estimez qu'elles ne sont pas aussi dangereuses que l'on veut bien le dire.

  • Il vous arrive de prendre, certains soirs, 2 somnifères au lieu d'un. D'en reprendre si le sommeil ne vient pas.

  • Vous ne souffrez pas d'une grave dépression, mais juste d'un passage de votre vie où vous avez besoin d'être "boosté", et l'on vous a prescrit un antidépresseur. Ou bien vous vous apprêtez à prendre un antidépresseur pour les mêmes raisons.

  • Vous souffrez d'un trouble bipolaire, ou du trouble cyclothymique, et l'on vous a prescrit un antidépresseur, des somnifères et/ou des anxiolytiques.

  • Vous désirez en savoir un peu plus que la notice de ces produits, et savoir si les avertissements qui y figurent sont vraiment sérieux ou seulement de "pure forme".





Psychotropes, l'enquête - La face cachée des antidépresseurs, tranquillisants, somnifères ...Guy Hugnet

260 pages

Octobre 2012
Editions l'Archipel
19,00 €
10,00 € en occasion



Quatrieme de couverture - Psychotropes, l'enquête - La face cachée des antidépresseurs, tranquillisants, somnifères ...Guy Hugnet

Notre avis


Ce livre n'est pas un pamphlet comme on pourrait s'y attendre, mais un véritable travail d'investigation. Prudent, n'avançant jamais que les produits cités sont "inutiles", il en défend le "bon usage" mais dénonce les prescriptions excessives, en s'aidant pour cela des avis pointus de pharmacologues.

L'originalité est la méthode d'investigation : partant de faits divers effroyables, l'auteur mène l'enquête, accède aux dossiers judiciaires et médicaux, publie les ordonnances. Les faits sont frappants. Les témoignages des proches et du voisinage, se ressemblent étrangement : rien ne laissait prévoir ce qui allait se produire. A chaque fois, le médecin prescripteur, le psychiatre local, donnent des réponses évasives aux enquêteurs de justice.

Les explications neuro-biologiques sont laissées aux spécialistes. Mais peu se risquent aujourd'hui à mettre en cause ces produits, réputés rendre de "grands services"... sauf quand, sauf si ... et c'est la catastrophe.

Les affaires politiques sont aussi invitées : une secrétaire d'état, en pleine affaire "Mediator", a du démissionner mais souhaitait rendre systématiques les analyses toxicologiques après chaque crime. On en apprendrait beaucoup ! Au lieu de ça, l'expert, lié comme toute la profession à l'industrie pharmaceutique, pond deux pages et ne met jamais en cause les psychotropes. Et autres réflexions.  

Un livre de référence pour en savoir plus, à la portée de tous.



Dernière édition par Neptune le 5/1/2018, 23:20, édité 3 fois

Sujets similaires

+

Bonjour,

C'est un très bon ouvrage !
Atteint de bipolarité / hypersensibilité, révélée (?) par les benzodiazépines, j'ai franchi plusieurs fois la limite...

Quelles qu'elles soient, après avoir essayé différentes substances, je peux dire qu'étant "résistant", aucune solution n'est trouvée...
Tous les produits (CYMBALTA, SERESTA, NOCTAMIDE, DEPAKOTE, THERALENE, DEPAMIDE, MIANSERINE etc.) n'ont eu pour effet, que d'amplifier certains phénomènes propres à ma pathologie.
Insomnie, grosse anxiété, irritabilité, agressivité, hypertension artérielle, hyper-émotivité, hyper-affectivité, tendance paranoïa, hyper-sensibilité au bruit, phobie sociale, sciatiques à répétition, cauchemars, tentatives de suicide, etc.

Aussi, j'ai décidé de me sevrer totalement et, ce livre m'a aidé en cela, au vu des situations relatées.
Je conseille celui-ci à toute personne, ayant encore conscience des effets négatifs que peuvent avoir les psychotropes.
Après, chacun (e) fait comme il (elle) peut.

Je suis "malade", désormais sans aucun traitement, mais surtout, pleinement conscient et "propre".

Voyez simplement deux extraits de l'ouvrage.

1. Effets secondaires des IRS et INRSna :
nervosité, agitation, confusion, insomnie, dysfonctionnements sexuels, hostilité, idées suicidaires, désinhibition, réaction maniaque ou psychotique, émoussement émotionnel, dépersonnalisation, amnésie, hallucinations visuelles et auditives...


Le CYMBALTA par exemple m'a provoqué une alerte cardiaque sévère... Cela m'a fait si peur que cela m'a incité à stoppé. Depuis ? Plus aucune alerte.

2. Dans la majorité des cas – 80% des ordonnances – antidépresseurs et anxiolytiques sont associés. Une "bombe à retardement"
Le professeur Patrick Martin considère comme une ineptie cette formule puisque l'action de l'un, dit-il, "antagonise" celle de l'autre.


Mon médecin traitant avait exactement commis cette grave erreur en me prescrivant CYMBALTA - Antidépresseur + SERESTA - Anxiolytique.

Je reste à votre écoute.

Humainement.



Dernière édition par dnrt le 28/12/2018, 10:11, édité 2 fois

Bonjour,

Je suggère un autre ouvrage, éloquent : Omerta dans les labos pharmaceutiques

Psychotropes, l'enquête - La face cachée des antidépresseurs, tranquillisants, somnifères - Guy Hugnet  Omerta10

200.000 morts par an en Europe par les médicaments !
By Mickael - Fondateur de News360x -  mar 10, 2014

Laboratoires pharmaceutiques : je rémunérais des médecins pour vendre des médicaments !
Rémunération d’experts, mise sous silence des effets secondaires de certains médicaments…
Dans son livre « Omerta dans les labos pharmaceutiques« , le médecin Bernard Dalbergue raconte les manipulations dont il a été témoin pour faire passer en force des médicaments.
Il dénonce un système aux dérives abjectes, et parfois mortelles.

Je suis médecin avec une carrière de plus de vingt années dans l’industrie pharmaceutique à des postes de management marketing et médical.
J’ai été licencié par mon dernier employeur parce que je me suis élevé contre des pratiques mettant en danger la vie des malades et interdites par la loi.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/02/04/un-ancien-de-merck-denonce-les-pratiques-du-laboratoire_4359560_3234.html

Le médicament, depuis sa naissance, son développement, son autorisation, sa commercialisation et son contrôle, voire sa répression, obéit aux lois de la dictature : tout le processus est aux mains d’un très petit nombre de décideurs, sans aucune transparence, contrôle ou répression efficace. C’est ce que j’ai voulu dénoncer.
Les magouilles des industriels pour autoriser des médicaments
Protégé par des brevets, le médicament ne peut être commercialisé ni développé pour autre chose que les intérêts financiers de la firme qui le possède pour des années. Toute autre utilisation jugée non rentable par l’industriel restera lettre morte faute de financement, quel que soit l’intérêt de santé publique.
Les industriels développent eux-mêmes les médicaments et peuvent facilement truquer les résultats, en exagérant l’efficacité tout en passant à la trappe les effets secondaires dangereux voire mortels. Les agences de contrôle du médicament peuvent être facilement abusées par des industriels tricheurs.
En effet, les résultats de dizaines de milliers de données des études cliniques d’un médicament peuvent être facilement orientés dans un sens favorable pour obtenir son autorisation, les aspects moins glorieux ignorés à la discrétion d’un industriel non éthique.
De grands médecins internationaux dits « leaders d’opinion » rémunérés par les industriels valident ce travail mais n’ont pas accès aux données sources protégées par le secret et ne l’obtiennent qu’exceptionnellement. Ils ne pourront pas rendre publiques des informations en défaveur du médicament sans l’autorisation de l’industriel et ne peuvent passer outre sans risquer de sévères poursuites en justice.
Ces leaders d’opinion valident et signent les publications préparées par les industriels qui les soumettent aux grandes revues médicales. Ils sont rémunérés et se voient en France attribués des avantages pour faire avancer leur carrière hospitalo-universitaire.
Des sommes astronomiques dépensées pour acheter des médecins
Il est facile de rémunérer les leaders d’opinion en échange d’activités contractuelles ! Ils n’ont aucun financement public pour mener à bien leurs travaux de recherche. J’étais le responsable désigné par un laboratoire pour la validation finale et le paiement de toute somme en contrepartie d’un contrat passé avec ces leaders d’opinion. Étude clinique : 2500 euros par patient ; contrat de consultant : 25 à 30.000 euros par an pour quelques heures de travail dans l’année.
J’ai refusé de travailler avec l’un de ces consultants et un autre pour rémunérer une étude clinique alors qu’ils étaient respectivement dans le même temps experts de l’agence française du médicament (ANSM) et l’agence européenne (EMA) pour autoriser le Victrelis. Tout a été rendu public dans les journaux « Libération » et « Le Monde » en février 2014.
L’ANSM et l’EMA désignent des experts médecins pour autoriser les médicaments. Ces experts sont parfois dans le même temps payés par l’industriel avant, pendant et après leur décision pour d’autres travaux uniquement justifiés par la lutte d’influence et sous une forme juridique de contrats permettant leur non diffusion publique.
En toute opacité, personne ne peut savoir qui sont ces experts, s’ils ont touché de l’argent du laboratoire et combien. Aux États-Unis, ces informations ont été rendues publiques depuis une dizaine d’années suite à de retentissants scandales sanitaires. En Europe, EMA2

Les effets secondaires passés sous silence par les labos
Les premières évaluations de l’EMA en vue d’une autorisation de commercialisation sont discutées avec les industriels et ceux-ci peuvent largement influer les décisions. Pour l’Europe, deux pays sont mandatés. En cas de refus par l’un des deux, c’est l’autre qui l’emportera le plus souvent. Des sommes astronomiques sont dépensées chaque année par des lobbyeurs européens professionnels dans le domaine de la santé.
Une autorisation de commercialisation peut être donnée à la condition de surveiller certains paramètres jugés potentiellement dangereux pour les patients, tels des effets secondaires. Ces plans de gestion des risques sont entièrement financés, pilotés, surveillés et les résultats fournis par les industriels eux-mêmes.

La pharmacovigilance européenne n’existe pas encore dans les faits. Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. S’ils souhaitent signaler un problème, c’est à l’Europe de décider du retrait du médicament, chose impossible pour aucun pays membre de l’Union européenne. La seule arme pour la France souhaitant limiter l’usage d’un médicament est de ne plus le rembourser.
L’Europe ne peut que difficilement reconnaître la responsabilité d’un médicament avec des morts ou des effets secondaires graves car ce serait condamner le laboratoire à des poursuites et des indemnités énormes. Celui-ci poursuivrait alors à son tour en justice la communauté européenne sur la base de tout un tas de directives sur la liberté du commerce.
Ces dérives entraînent plus de 18.000 morts chaque année en France
En France, la lenteur voire l’inertie de la justice à indemniser les victimes du médicament est notoire.
Tout ce système ouvert aux dérives totalitaires les plus abjectes entraîne
18 à 30 000 morts chaque année en France, 200.000 en Europe. L’impunité est totale. La loi française ne prévoit que des peines symboliques pour des conflits d’intérêts prouvés et aucune peine de prison, ni pour les industriels ou les médecins.
Seule la justice pénale, longue et hasardeuse, peut poursuivre un laboratoire. Chaque malade doit apporter la preuve auprès de la justice et cheminer par tout un tas de commissions. Les class action(actions en justice d’un groupement de malades) ne sont pas autorisées en France alors qu’elles sont notoirement le meilleur moyen de faciliter les recours des victimes du médicament.
Lorsqu’un industriel fraudeur décide sciemment de cacher ou de trafiquer des résultats sur ses médicaments, il sera très difficile de s’en apercevoir en raison de l’organisation du système que j’ai décrit. Nombre d’experts sont en toute opacité payés, rémunérés par quelques industriels alors qu’ils donnent dans le même temps leur autorisation pour vendre les médicaments de ces mêmes industriels, créant ainsi des conflits d’intérêts expliquant que des médicaments pas plus efficaces mais plus dangereux que d’autres déjà existants soient prescrits aux malades.
Le cycle de vie du médicament est organisé comme une dictature
De fait, le cycle de vie du médicament  est aujourd’hui organisé comme une dictature : décisions non transparentes aux mains d’un petit nombre d’experts et de politiques facilement aveuglables, sans aucun contrôle ni répression dissuasive en cas de fraude volontaire d’un industriel du médicament qui contrôle, de fait, chaque étape amenant à la commercialisation d’un médicament.
Je suis le premier triple lanceur d’alerte du médicament ayant rendu publiques des preuves irréfutables de ces comportements condamnables (Stylo ViraféronPeg défectueux, affaire du Victrelis). La justice française possède tous les éléments pour faire la lumière et le législateur pourrait enfin assortir les lois déjà existantes de peines très lourdes pour de futurs candidats fraudeurs.
Je demande au pouvoir exécutif de notre pays et aux représentants français élus à l’Assemblée nationale, au Sénat ou au Parlement européen de mettre en place deux mesures urgentes pour lutter contre les portes grandes ouvertes à cette corruption mortifère : transparence totale de tout lien d’intérêts et répression dissuasive.
Je ne suis pas le premier et ne serait pas le dernier lanceur d’alerte si la décision de rendre obligatoire et transparente toute décision sur le circuit de validation du médicament n’est pas prise.
Quel responsable ou formation politique aura le courage de lutter contre ce génocide silencieux et invisible ?
Ou sera-t-il impossible pour la démocratique Europe de lutter contre les agissements d’une minorité d’industriels malhonnêtes alors que la grande majorité de cette profession reste éthique et apporte un appui essentiel à la recherche et la découverte de médicaments indispensables pour la population ?

Sources : leplus.nouvelobs.com

Bonjour,

Voici un autre ouvrage que je découvre... Effarant  > John Virapen - Médicaments effets secondaires - La mort

Psychotropes, l'enquête - La face cachée des antidépresseurs, tranquillisants, somnifères - Guy Hugnet  John_v10

J'ai payé un professeur suédois pour augmenter les chances d'accréditation du Prozac en Suède.
John Virapen  

De nombreux médicaments sont mis sur le marché, sans que souci soit fait des effets secondaires non suffisemment contrôlés et qui causent des dizaines de milliers de morts chaque année à travers le monde.    
De grands universitaires ont consacré de nombreuses études aux perversions cyniques et scandaleuses des grandes firmes pharmaceutiques mondiales, qui se retirent de plus en plus de la recherche sur les grands fléaux (cancers, *Alzheimer, maladies neurologiques, psychiatriques, virales et parasitaires du tiers-monde), au profit quasi exclusif de la création d’immenses marchés artificiels à rentabilité immédiate, leur assurant des bénéfices exorbitants, trois à quatre fois supérieurs à ceux de toutes les autres industries, sans aucun avantage pour la santé et les malades. Elles y parviennent de deux façons : d’abord, par la promotion de molécules prétendues nouvelles, quoique peu novatrices, simples copies des médicaments plus anciens et dont certaines ont déjà provoqué des dizaines et parfois des centaines de milliers de morts ; ensuite, en suscitant l’anxiété, donc la demande de la population et des parents, inventant et promouvant par un marketing forcené dans tous les médias des maladies qui n’existent pas (pré-hypertension, cholestérol, dépression, hyperactivité de l’enfant, dysphorie menstruelle, etc.) et pour lesquelles elles proposent des pseudo-médicaments, qui ont d’autant moins de chance d’être efficaces qu’ils n’ont rien à traiter, mais qui sont loin d’être sans danger. John Virapen, venu de la Guyane britannique, de formation médicale et ancienne pop-star, devenu, dans les années 1980, PDG pour la Suède, puis l’Amérique Centrale, de la grande firme américaine Eli Lilly, raconte de l’intérieur. Son livre n’est pas une étude, mais un témoignage vécu, direct et douloureux, habité de remords, de culpabilité et de révolte contre une politique qu’à travers les drames de l’Opren, du Prozac, du Vioxx et du Strattera, il a mis des années à comprendre et à rejeter. C’est donc pièces en main qu’il décrit le fonctionnement interne de ces entreprises, la falsification des études cliniques des médicaments, le secret et la dissimulation des accidents thérapeutiques, systématiquement cachés aux agences de contrôle, la désinformation et la corruption organisées des médecins généralistes par les visiteurs médicaux des firmes et plus encore, celle des experts universitaires infiltrés dans les agences d’État et même celle des politiques. Ce livre désespéré et passionnant tente de préparer un avenir meilleur pour les générations futures, dont le jeune fils de l’auteur que l’on trouvera au cœur de ce bouleversant témoignage.

Lecture en cours...

On y retrouve des noms biens connus parmi les "80 médicaments à risque sur le marché français"
- KETUM, PROZAC, DEROXAT, ZOLOFT, SEROPLEX, CHAMPIX, EFFEXOR, CYMBALTA, STILNOX, ZYPREXA...

Voyez simplement deux extraits de l'ouvrage.

"...les moins de 15 ans représentent 20% du marché mondial potentiel, un marché d'au moins 500 millions d'enfants dans le monde. Un marché qui avait presque entièrement échappé à l'industrie pharmaceutique jusqu'en 1990.
Selon l'industrie, des enfants souffrent de DAHA - Déficit de l'Attention avec HyperActivité - un syndrome dont personne ne souffrait en 1990, mais pour lesquels 10% des enfants américains sont aujourd'hui traités régulièrement..."

> RITALINE, QUASYM, CONCERTA...

"Tant qu'il n'y aura pas un institut de médecine indépendant...
...les pharmacies continueront à proposer 25% de médicaments indispensables, 25% de médicaments occasionnellement utiles, 25% de médicaments à peu près complètement inefficaces et encore 25% totalement inefficaces..."



*TEMESTA a valu à ma mère d'être atteinte de la maladie d'Alzheimer après en avoir ingurgité pendant... plus de 25 ans !
LYSANXIA : ma tante en prend et lui a valu de nombreuses apnées du sommeil
ZOLPIDEM : mon beau-frère en a pris 3 mois > Suicidé
CYMBALTA : j'en ai pris et, cela a failli m'être fatal

C'est depuis cet épisode que je suis entré "en recherche" à propos de ces substances, et là, beaucoup d'explications apparaissent.
D'où, ma persistance, ma contribution.
Humainement.

dnrt



Dernière édition par dnrt le 29/12/2018, 20:52, édité 1 fois

Bonjour,

Si vous êtes à la recherche des origines du mal dont vous souffrez, je vous suggère cet ouvrage.

Les 5 Blessures qui empêchent d’être soi-même de Lise Bourbeau

Psychotropes, l'enquête - La face cachée des antidépresseurs, tranquillisants, somnifères - Guy Hugnet  Les_5_13

Afin de vous apporter des outils supplémentaires sur le chemin de la guérison qui passe par le “connais-toi toi-même”, je vous invite à découvrir le livre de Lise Bourbeau : Les 5 Blessures qui empêchent d’être soi-même.

Dans cet ouvrage Lise Bourbeau, démontre que tous les problèmes d’ordre physique, émotionnel ou mental proviennent de cinq blessures importantes : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice.

Caractéristiques de la blessure d'ABANDON
La blessure d`abandon se situe davantage au niveau du avoir et du faire
Éveil de la blessure : Entre un et trois ans avec le parent du sexe opposé. Manque de nourriture affective ou du genre de nourriture désiré.
Masque: Dépendant
Corps : Long, mince, manque de tonus, affaissement, jambes faibles, dos courbé, bras semblent trop longs et pendent le long du corps, parties du corps tombantes ou flasques.
Yeux : Grands, tristes. Regard qui tire.
Vocabulaire : “absent”, " seul”, " je ne supporte pas”, " je me fais bouffer”, " on ne me lâche pas ".
Caractère : Victime. Fusionnel Besoin de présence, attention, support et surtout de soutien. Difficulté à faire ou à décider quelque chose seul. Demande conseils et ne les suit pas nécessairement. Voix d'enfant. Difficulté à se faire dire non (à accepter un refus). Tristesse. Pleure facilement. Attire la pitié. Un jour joyeux, un jour triste. S'accroche physiquement aux autres. Psychique. Vedette. Recherche l'indépendance. Aime le sexe.
Plus grande peur : la solitude.
Alimentation : Bon appétit. Boulimique. Aime aliments mous. Mange lentement.
Maladies possibles : Dos, asthme, bronchites, migraines, hypoglycémie, agoraphobie, diabète, glandes surrénales, myopie, hystérie, dépression, maladies rares qui attirent davantage l'attention, maladies incurables.


Celui-ci m'a permis de comprendre que la bipolarité dont je souffre puise sa source lors du décès par suicide, de mon père, alors que j'avais 10 ans.
"En sommeil", ce mal sous-jacent est réapparu en 1998 (séparation - licenciement - divorce) puis, en 2012
(séparation - rupture conventionnelle de contrat).
Tout s'explique.

Humainement.



Dernière édition par dnrt le 26/4/2016, 10:22, édité 1 fois

Merci dnrt pour tes sources !
Dans la mesure du possible je suis vraiment pour ta phrase : citer de mémoire avec mes mots

"pour vivre heureux vivons sans cacheton"

Neptune

Information, recherche, action et entraide sur les "maladies" psychiques

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