RésuméLa psychiatrie est un trouble mental grave, dont la symptomatologie est caractéristique, depuis la phase prodromique "étudiant" jusqu'à la phase plus aiguë et à peu près constante jusque l'âge dit "de retraite". Les chercheurs du centre expert Neptune ont démontré que, contrairement à toute attente, et à un constat très majoritaire, cette maladie n'est en fait pas systématiquement chronique : rémissions, voire guérisons, sont possibles. Caractéristiques diagnostiquesLorsqu'elle est avérée (vers l'âge de 27 ans, variable selon les individus) la psychiatrie se reconnait par quatre critères spécifiques et congruents :
Revenir au sommaire Traitements actuellement disponiblesCette maladie est actuellement considérée comme chronique, et à fort retentissement sur les personnes que la société confie à ces malades par souci d'économies d'énergie. Les traitements disponibles consistent :
Revenir au sommaire Les nouvelles voies thérapeutiquesLes chercheurs du centre Neptune ont étudié des cas cliniques de guérison accidentelle, qui ouvrent une voie vers des traitements prometteurs.
Revenir au sommaire Les experts du centre Neptune réunis en leur laboratoire Ainsi, dans une population N=13600, l'étude a pu détecter que, placé dans un environnement judiciaire non complaisant, le rappel des strictes dispositions de la loi que respectent leurs pairs, appelés dans le cadre de l'étude les "gens normaux", l'incitation à la réflexion, l'introspection apportée par une suspension ordinale, provoquait l'"insight" déclencheur d'un long processus de restauration des capacités cognitivo-intellectuelles des sujets ainsi favorisés. Le groupe expert "Neptune" va donc étendre l'expérience en appliquant les thérapies ayant produit ces effets bénéfiques :
Revenir au sommaire | SommairePostface, un mois plus tardCela fait un mois que nous avons écrit ce gentil pamphlet. Ecrit un soir de fatigue morale des longues lectures d'un des livres de la collection Lavoisier, où il n'est question que de neurobiologie et de "schizophrènes" - et non de "personnes atteintes de schizophrénie". Aussi, la surprise de voir certains psychiatres s'exprimer avec nous comme à des personnes normales et responsables, fut un choc. C'est pourquoi cet article, qui en fait n'est pas drôle, reste dans ces pages, pour montrer notre espoir de voir ces personnes devenir un jour majoritaires, et de voir aussi les patients-victimes, être davantage acteurs et respectés.Neptune, le 25 novembre 2014 Vue en coupe d'un cerveau de psychiatre au repos. Les flux ioniques et endocriniens sont minimaux, aucune activation des récepteurs HT-2a et n'est mise en évidence, l'espace présynaptique est libre de toute activité alpha ou beta-ionisante des antagonistes Gaba-insulinonergiques. Cerveau atteint de psychiatrie. Les neurotransmetteurs noradrénergiques (au centre) envahissent l'espace intersticiel sub-hippocampique et bloquent la libération des inhibiteurs TNT-alpha-dopaminergiques présynaptiques que l'on voit en violet, couleur typique d'excitation oméga 2 subcholinergiques des demi-lobes pariétaux. Image obtenue par IRM magnéto-fonctionnel à subduction plasma oméga-3. (1) On dit qu'ils sont fous et je vis avec eux (2) Hopital Sainte-Anne, 4 ans après le film (3) Les bons hôpitaux psychiatriques : Ainay-le-Chateau (4) Témoignage de PCDL sur le CRPA - Cercle de Réflexion et de Propositions d'Action sur la Psychiatrie. (5) Le CHD Daumezon a servi de "pilote" à la loi du 1er juillet 2011 instituant les internements sur décision des seuls psychiatres, la contrainte absurde de soins à domicile. Cet établissement qui fait régulièrement parler de lui, s'est donc porté volontaire pour mettre en pratique, le premier, ces lois contraires à toute thérapie, et en grande partie responsables du symptôme schizophrénique des personnes atteintes de psychiatrie dans ce type d'établissement. |
Dernière édition par Neptune le 24/6/2019, 22:21, édité 5 fois
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12 croyances des psychiatresPar Pink Belette, le 13/12/2015 Lors d'un entretien avec un sujet atteint de psychiatrie, vous serez confronté(e)s aux croyances et symptômes ci-dessous, dans l'ordre de fréquence d'apparition. 1: Sur la souffrance : si vous souffrez autant, c'est disproportionné, donc pathologique. C'est donc votre cerveau qui déconne. Inutile de chercher d'où vient la souffrance, c'est congénital, vous n'y pouvez rien. 2: Si vous êtes schizo, maniaco, etc... , c'est à vie. Mais bon, une maladie mentale, c'est comme un diabète, ça se traite mais ne se guérit pas. (Citation d'une infirmière : « la psychiatrie n'a pas pour vocation de guérir ») 3: Tout médicament a des effets secondaires, c'est normal, donc. 4: Vous voulez dire que c'est le vécu de la personne qui l'a rendu malade ? « Oh, vous savez, c'est comme l'histoire de la poule et de l'oeuf, on ne peut pas savoir qui était là avant » (sic!) 5: Si vos parents toxiques persistent à s'inviter dans la loge du psychiatre, sachez que : les parents ont toujours raison et sont évidemment toujours bienveillants à l'égard de leur enfant. Ils déforment tous vos propos, faits et gestes ? C'est vous qui n'êtes pas dans la réalité et c'est vous qui les faites beaucoup souffrir avec votre maladie, soyez-en conscients 6: Plus la dose prescrite est forte, plus vous allez vous remettre rapidement, on pourra toujours baisser après, pour un « traitement au long cours »... 7: Vous parlez de votre âme comme si elle existait et avait la plus grande importance, c'est forcément un délire mystique de votre cerveau malade 8: Vous demandez des preuves scientifiques, le Vidal, des explications, bref vous êtes en opposition et il faut vous remettre à votre place de malade qui est censé écouter et obéir au médecin. 9: Règle absolue : il ne faut jamais dire à un psychiatre « vous n'avez pas le droit » (bien sûr, les psychiatres ont tous les droits même s'ils n'ont pas d'arguments). 10 : Vous trouvez que l'ambiance dans le service est totalitaire et osez émettre des critiques : c'est donc que vous avez un grave trouble du comportement. 11 : « Ah non, les neuroleptiques n'affectent pas les capacité intellectuelles »... Mais non, ils ne rendent pas malheureux, dépressif, angoissé, c'est votre maladie et il faut donc revoir votre traitement à la hausse ou changer pour une molécule plus lourde qui va vous anesthésier la conscience, vous verrez, vous n'aurez même plus conscience d'être dans la merde... 12 : « Vous êtes en soins sous contrainte, donc c'est nous qui sommes responsables de vous, vous perdez vos droits, etc »... Le patient : « et vous, vis-à-vis de moi, vous êtes redevable de quoi ? » « Je vous triple la dose, vous avez de graves troubles du comportement » (citation d'une psychiatre lors d'un premier entretien) Revenir au sommaire |